Ce ministère est, à mon humble avis, le maillon essentiel mais manquant dans les rouages du développement économique.
Sa création tombe à point nommé. Car, à la sortie de la crise sanitaire, qui plane toujours telle une chape de plomb, il est temps de valoriser tous les atouts que le pays et sa population peuvent mettre en valeur.
Voilà pourquoi l’artisanat et les métiers, deux secteurs complémentaires, ont leur place de choix sur l’échiquier économique et financier, sans oublier l’interdépendance avec le tourisme, l’environnement, les mines, l’agriculture, etc. Ils se présentent comme une arme redoutable contre le chômage car c’est un secteur pourvoyeur d’emplois.
A coté de cela, notre artisanat s’exporte un peu partout dans le monde grâce au rayonnement du savoir-faire. C’est cette authenticité et les multitudes de possibilités qui font la force des produits malgaches sur les marchés internationaux.